Billets
- Catégorie : Charles Dovalle (continued)
- Catégorie : Charles Guérin
- Ah! ce bruit affreux de la vie
- Ah! Seigneur, Dieu des coeurs
- Ainsi qu'un lierre obscurceint le bord d'une coupe
- Au bout du chemin
- Avant que mon désir douloureux soit comblé
- Avec le ciel doré, le vent, la voix
- Avec ses espaliers de luxure et de fastes
- Ce cœur plaintif, ce cœur d'automne
- Ce soir après la pluie est doux
- Ce soir je reprendrai mon chemin solitaire
- Ce soir sur le chemin sonore du coteau
- Chansons, chansons, chansons
- Charme indéfinissable et fin, le soir d'été
- Comme un roseau plaintif au bord de la rivière
- Conseils au solitaire
- Contemple tous les soirs le soleil
- Dans la soudaine nuit d'une jarre de terre
- Dans ton décor naïf tu m'apparais
- Dernières paroles du poète
- Deux papillons faisaient l'amour sur une rose
- Devant le ciel de nacre et d'or
- Du seuil de sa prison charnelle
- Écoute, quelqu'un chante ou soupire
- Encore un peu ta bouche en pleurs
- Entre mon rêve et toi
- Entrerai-je, ce soir, Seigneur, dans ta maison
- Epitaphe pour lui-même
- Été des vieilles joies
- Goûte, me dit le Soir de juin avec douceur
- Il a plu un soir de juin
- Il est si tard, il fait, cette nuit de novembre
- J'ai croisé sur la route où je vais dans la vie
- J'ai dans l'âtre encore vide et sévère
- J'étais couché dans l'ombre
- J'imagine souvent ta maison
- Je subis la peine du dam
- Je t'apporte buisson de roses
- Je te vois anxieuse et belle
- Je vais sur la pelouse humide
- Je voudrais être un homme
- L'abeille qui plongeait
- L'ambre, le seigle mûr, le miel
- L'amour nous fait trembler
- L'hiver a, cette nuit, une odeur de printemps
- La bouche aimée est savoureuse et chaude
- La chanson de la bien-aimée
- La chèvre dans l'enclos
- La maison dort
- La maison serait blanche
- La mémoire de l'homme est une pierre dure
- La nuit répand sur le village son ombre
- La pensée est la plus amère des maîtresses
- La pensée est une eau sans cesse jaillissante
- La voix du soir
- Lasse et les cils battants, heureuse
- Le ciel pâlit, la terre humide et reposée
- Le ciel profond reflète en étoiles nos larmes
- Le grain de blé qu'on va moudre
- Le jour blanc se levait à peine sur la mer
- Le lait des chats
- Le navrant sourire où monte un flot de larmes
- Le rosaire des cloches
- Le sable du ravin est rouge
- Le soir léger avec sa brume claire
- Le soleil de ce jour d'automne
- Le soleil disparu rayonne sur la mer
- Le temps n'a point pâli ta souveraine image
- Le tiède après-midi paisible
- Le vent est doux comme une main de femme
- Ma douce enfant, ma pauvre enfant
- Ma fenêtre était large ouverte
- Ma plume, cette nuit de doute
- Maîtresse, tendre et noble amie
- Mélodie païenne
- Ne mêle pas l'esprit aux choses de la chair
- Nuit d'ombre, nuit tragique, ô nuit désespérée
- Ô jeunesse, fervent et clair foyer d'amour
- Ô mon ami, mon vieil ami, mon seul ami
- Ô poète inquiet du monde
- Ô tragiques instants du départ
- Ô veille de Toussaint et dernier soir d'octobre
- Octobre à son manteau d'azur fourré
- Parfois l'esprit se perd
- Parfois, sur les confins du sommeil qui s'achève
- Plutôt qu'un médiocre honneur
- Pour couronner la blonde enfant
- Puisque l'ennui, pauvre homme
- Qu'on ouvre la fenêtre au large
- Quand, au matin, je vois tes persiennes
- Que la nuit m'enveloppe et dorlote ma peine
- Quel est ce lied qui fait son nid dans mon silence
- Qui de vous n'a connu les soirs où l'on écoute
- Qui pleure à ma porte à la fin du jour?
- Requiem d'automne
- Saison fidèle aux cœurs
- Soirs de stérilité qui font l'âme plus sèche
- Sois pure comme la rosée
- Souffrir infiniment, souffrir
- Souvent, le front posé sur tes genoux
- Stériles nuits d'hiver où ton âme trop pauvre
- Sur nos pas le profond enfer s'est refermé
- Taciturnes, le front baissé, nous tisonnons
- Ton cœur est fatigué des voyages
- Ton image en tous lieux peuple ma solitude
- Tu rangeais en chantant pour le repas du soir
- Tu sommeilles, je vois tes yeux sourire encore
- Un oiseau, fauvette ou grive
- Un soir au coucher du soleil
- Un soir, au temps du sombre équinoxe d'automne
- Une flûte au son pur
- Voici dans le couvent voisin
- Vous qui sur mon front toute en larmes
- Vous, le charme et l'honneur de mon jardin natal
- Catégorie : Charles Le Goffic
- À la mémoire de ma mère
- À la Vallée-aux-Loups
- À une Normande
- Alésia
- Anne-Marie
- Anthéor
- Ar Roc'h Allaz
- Ariette dauphinoise
- Bouquet
- Bretonne de Paris
- Chanson Paimpolaise
- Confidence
- Conseils à une belle nonchalante
- Couchant mystique
- Dédicace
- Destin
- En partance
- Épithalame
- Évocation
- Feux d'écobue
- L'affût
- L'Algeiras
- L'enlèvement pour rire
- La chanson de Margueritte
- La complainte de l'Âme Bretonne
- La dernière idylle
- La fleur
- Là-bas
- Lassitude
- Le bandeau noir
- Le cœur en dérive
- Le manoir
- Le passant
- Le premier soir
- Le rossignol
- Le serment d'Hoël IV
- Les peupliers de Keranroux
- Les sept innocents de Pleumeur
- Les trois matelots de Groix
- Les violiers
- Lever d'aube
- Lits-clos
- Madrigal d'hiver
- Marivône
- Memoranda
- Nocturne
- Noël à bord
- Noël de mendiants
- Notre-Dame de Penmarc'h
- Novembre
- Papillons de mer
- Pleine nuit
- Premiers doutes
- Prière à Viviane
- Printemps de Bretagne
- Recluse
- Romance sans paroles
- Rondes
- Sérénade
- Sommeil
- Son âge, son pays, son nom
- Sur la beigne
- Sur la dune
- Sur un livre Breton
- Triolets à ma mie
- Triptyque (1)
- Triptyque (2)
- Triptyque (3)
- Vision
- Vos yeux
- Catégorie : Charles Marie René Leconte de Lisle
- À un poète mort
- À Victor Hugo
- Dans le ciel clair
- Églogue
- Épiphanie
- Hèraklès solaire
- Kléarista
- L'aigu bruissement
- L'apothéose de Mouça-al-Kébyr
- L'astre rouge
- L'holocauste
- L'illusion suprême
- L'orbe d'or
- La chasse de l'aigle
- La fatalité
- La lampe du ciel
- La prairie
- La résurrection d'Adonis
- La source
- La tête de Kenwarc'h
- Le baiser suprême
- Le chapelet des Mavromikhalis
- Le dernier Dieu
- Le lac
- Le retour d'Adonis
- Le Talion
- Les raisons du Saint-Père
- Les roses d'Ispahan
- Les siècles maudits
- Pantouns Malais
- Paysage
- Sous l'épais sycomore
- Symphonie
- Toi par qui j'ai senti
- Villanelle
- Catégorie : Charles-Augustin Sainte-Beuve
- À Alfred de Musset
- À Alfred de Vigny
- À Boulanger
- À David d'Angers
- À deux absents
- À Francfort-sur-le-Mein
- À M. Auguste Le Prévost
- À M. Roger d'A
- À M. Viguier
- À Madame ***
- À Madame la D. De R
- À Madame M
- À mon ami Émile Deschamps
- À mon ami Leroux
- À mon ami Ulric Guttinguer
- À mon ami Victor Hugo
- À mon cher Marmier
- À Ronsard
- À Victor Hugo
- À Victor Hugo (II)
- C'est un beau soir paisible
- Causerie au bal
- Chacun en sa beauté
- Dans ce cabriolet de place
- En ces heures que le plaisir abrège
- Enfant, je m'étais dit
- L'autre nuit, je veillais dans mon lit
- La cabane du Highlander
- La contredanse
- La plaine
- La veillée
- La voilà, pauvre mère, à Paris arrivée
- Le calme
- Le château de Bothwell
- Le dernier vœu
- Le silence
- Le soir de la jeunesse
- Le songe
- Les passions, la guerre
- Les rayons jaunes
- Ne ris point des sonnets
- Non, je ne suis pas gaie
- Ô laissez-vous aimer
- Oh! que la vie est longue
- Pensée d'août
- Pour un ami
- Pour un ami (II)
- Premier amour
- Quand l'avenir pour moi n'a pas une espérance
- Quand le Poète en pleurs
- Reposez-vous et remerciez
- Rome
- Sainte Thérèse à Jésus crucifié
- Un grand chemin ouvert
- Une jeune femme au bain
- Vous avez jeunesse avec beauté
- Catégorie : Claude Mermet
- Catégorie : Émile Verhaeren
- À la Belgique
- À la gloire des cieux
- À la gloire du vent
- À Pâques
- Âprement
- Ardeur des sens, ardeur des coeurs
- Asseyons-nous tous deux près du chemin
- Au bord du quai
- Au clos de notre amour
- Au loin
- Au Nord
- Au passant d'un soir
- Au Reichstag
- Au temps où longuement j'avais souffert
- Autour de ma maison
- Aux moines
- Avec le même amour
- Avec mes sens
- Avec mes vieilles mains
- Bien que déjà, ce soir
- C'est la bonne heure
- C'était en juin, dans le jardin
- Cantiques
- Celle du jardin
- Celui de l'horizon
- Celui de la fatigue
- Celui du rien
- Ceux de Liége
- Chanson de fou (I)
- Chanson de fou (II)
- Chanson de fou (III)
- Combien elle est facilement ravie
- Comme aux âges naïfs
- Comme tous les soirs
- Conseil absurde
- Croquis de cloître (I)
- Croquis de cloître (II)
- Croquis de cloître (III)
- Croquis de cloître (IV)
- Cuisson du pain
- Décembre
- Départ
- Des fleurs fines
- Des soirs
- Dialogue
- Dimanche matin
- En hiver
- Eperdument
- Epilogue
- Fin d'année
- Fleur fatale
- Hommage
- Il fait novembre en mon âme
- Inconscience
- Insatiablement
- J'ai cru à tout jamais notre joie engourdie
- Je dédie à tes pleurs, à ton sourire
- Je noie en tes deux yeux mon âme
- Je songe à ta bonté
- Je t'apporte ma joie
- Kato
- L'abreuvoir
- L'action
- L'âge est venu
- L'amante
- L'âme de la ville
- L'ancienne gloire
- L'arbre
- L'éternelle lueur
- L'heure et l'humeur
- L'orgueil
- La joie
- Le vent
- Ma tranquille amie
- Mourir
- Oh! ce bonheur
- Où notre amour a voulu naître
- Si nos coeurs ont brûlé
- Vers le futur
- Vous m'avez dit, tel soir
- Catégorie : Évariste de Parny
- À Éléonore
- À Éléonore (II)
- À Éléonore (III)
- À M. de F
- À ma bouteille
- À mes amis
- À un ami trahi par sa maîtresse
- À un homme bienfaisant
- À un myrte
- Aimer est un destin charmant
- Au gazon foulé par Éléonore
- Au sein d'un asile champêtre
- Aux infidèles
- Bel arbre, pourquoi conserver
- Billet
- C'en est donc fait! par des tyrans cruels
- Demain
- Dépit
- Dieu des amours
- Dieu vous bénisse
- Du plus malheureux des amants
- Élégie
- Il est trop tard
- Il faut tout perdre
- L'absence
- L'impatience
- L'infidélité
- La main
- La nuit
- La rechute
- La rose
- Le baiser
- Le bouquet de l'amour
- Le cabinet de toilette
- Le lendemain
- Le lendemain (I)
- Le refroidissement
- Le remède dangereux
- Le retour
- Le revenant
- Le sein
- Le songe
- Le voyage manqué
- Les adieux
- Les paradis
- Les regrets
- Les rideaux
- Ma mort
- Ma retraite
- Madrigal
- Ô la plus belle des maîtresses
- Palinodie
- Plan d'études
- Projet de solitude
- Raccommodement
- Réflexion amoureuse
- Souvenir
- T'aimer est le bonheur suprême
- T'en souviens-tu, mon aimable maîtresse
- Catégorie : Félix Arvers
- À Alfred de Musset
- À Alfred Tattet
- À Charles X
- À Gianetta
- À Madame ***
- À MM. Barthélemy et Méry
- À mon ami ***
- À Victor Hugo
- Bury
- Ce qui peut arriver à tout le monde
- Déclaration
- Examen de conscience
- Fête du Peuple
- L'amour caché
- L'anniversaire
- L'immortalité
- La femme adultère
- La pauvreté
- La première passion
- La ressemblance
- La Saint-Barthélemy
- La vengeance
- La vie
- La villégiature
- Le commencement de l'année
- Le livre de mon cœur
- Le poète
- Le retour de la bien-aimée
- Lorsqu'autrefois
- Ospitalita
- Pourtant, si tu m'aimais
- Sonnet à mon ami R
- Catégorie : François Coppée
- À Aloys Blondel
- À deux îles
- À deux sœurs
- À Jeanne Lemerre
- À Madame la princesse Mathilde
- À Mademoiselle Anna Travers
- À Mademoiselle Annette Baudrit
- À Mademoiselle Jane Sabatery
- À un ange gardien
- À un lilas
- À un sous-lieutenant
- À une jeune Marseillaise
- À une tulipe
- Adieux aux Eaux-Bonnes
- Au bord de la Marne
- Au lion de Belfort
- Au théâtre
- Aubade
- Aubade parisienne
- Aux ambulancières de la Croix-Rouge
- Aux amputés de la guerre
- Aux bains de mer
- Blessure rouverte
- Chanson d'exil
- Chant de guerre circassien
- Cheval de renfort
- Croquis de banlieue
- Dans la rue
- Dans la rue, le soir
- Désespérément
- Désir dans le spleen
- Douleur bercée
- Émigrants