Billets
- Catégorie : Paul Verlaine (continued)
- Le piano que baise une main frêle
- Le pitre
- Le poète et la muse
- Le rossignol
- Le soldat laboureur
- Le soleil du matin doucement chauffe et dore
- Le son du cor s'afflige vers les bois
- Le Sonnet de l'Homme au Sable
- Le sort fantasque qui me gâte à sa manière
- Le squelette
- Les chères mains qui furent miennes
- Les coquillages
- Les Dieux
- Les faux beaux jours ont lui tout le jour
- Les indolents
- Les Ingénus
- Les loups
- Les méfaits de la lune
- Les morts que l'on fait saigner dans leur tombe
- Les plus belles voix
- Les vaincus
- Lettre
- Limbes
- Logique
- Lombes
- Lorsque tu cherches tes puces
- Luxures
- Madrigal
- Mains
- Maintenant, un gouffre du Bonheur
- Mais après les merveilles
- Mais Sa tête, Sa tête
- Malheureux! Tous les dons, la gloire du baptême
- Malines
- Mandoline
- Marco
- Marine
- Minuit
- Mon ami, ma plus belle amitié
- Mon cœur jamais fatigué
- Mon Dieu m'a dit : Mon fils, il faut m'aimer
- Mon fils est mort
- Mon rêve familier
- Money!
- Monsieur Prudhomme
- Né l'enfant des grandes villes
- Nevermore
- Nevermore (2)
- Nocturne parisien
- Noël
- Non. Il fut gallican, ce siècle, et janséniste
- Nos repas sont charmants
- Notre-Dame de Santa Fé de Bogota
- Nous sommes bien faits
- Nous sommes en des temps infâmes
- Nuit du Walpurgis classique
- Ô j'ai froid d'un froid de glace
- Ô mon Dieu, vous m'avez blessé d'amour
- Ô toi triomphante
- Ô triste était mon âme
- Ô vous, comme un qui boite au loin, Chagrins et Joies
- On n'offense que Dieu qui seul pardonne
- Opportet hæreses esse
- Or, malgré ta cruauté
- Or, vous voici promus, petits amis
- Pantomime
- Pantoum négligé
- Paraboles
- Parfums, couleurs, systèmes, lois
- Parisien, mon frère à jamais étonné
- Parsifal
- Paysage
- Paysages
- Pénitence
- Pensée du soir
- Pensionnaires
- Per amica silentia
- Petits amis qui sûtes nous prouver
- Pierrot
- Pierrot Gamin
- Poème saturnien
- Pourquoi triste, ô mon âme
- Prêtres de Jésus-Christ, la vérité vous garde
- Prière
- Prière du matin
- Prince mort en soldat à cause de la France
- Printemps
- Prologue
- Prologue d'un livre
- Promenade sentimentale
- Prudence
- Puis, déjà très anciens
- Puisque l'aube grandit, puisque voici l'aurore
- Qu'en dis-tu, voyageur, des pays et des gares?
- Quand je cause avec toi
- Quand tu me racontes les frasques
- Que ton âme soit blanche ou noire
- Quinze longs jours encore et plus de six semaines
- Résignation
- Réversibilités
- Riche ventre
- Rois
- Sagesse d'un Louis Racine, je t'envie
- Saint Benoit-Joseph Labre
- Saint Graal
- Sainte Thérèse veut que la Pauvreté
- Saints innocents
- Sanctus
- Sappho
- Séguidille
- Seigneur, vous m'avez laissé vivre
- Sérénade
- Si tu le veux bien, divine Ignorante
- Sois de bronze et de marbre
- Soleils couchants
- Son bras droit, dans un geste aimable de douceur
- Sonnet boiteux
- Sonnet héroïque
- Spleen
- Streets
- Sub Urbe
- Sur l'herbe
- Sur le balcon
- Sur le Point du Jour
- Sur un reliquaire
- Sur une statue de Ganymède
- Tantalized
- There
- Ton rire éclaire mon vieux cœur
- Torquato Tasso
- Toussaint
- Toute grâce et toutes nuances
- Toutes les amours de la terre
- Tu bois, c'est hideux presque autant que moi
- Tu crois au marc de café
- Tu fus souvent cruelle
- Tu fus une grande amoureuse
- Tu m'as frappé, c'est ridicule
- Tu m'ostines!
- Tu n'es pas du tout vertueuse
- Tu n'es pas vaincu, sinon par le Seigneur
- Tu vis en toutes les femmes
- Un conte
- Un crucifix
- Un dahlia
- Un grand sommeil noir
- Un pouacre
- Un projet de mon âge mûr
- Un scrupule qui m'a l'air sot
- Un soir d'octobre
- Un veuf parle
- Une grande dame
- Une Sainte en son auréole
- Va ton chemin sans plus t'inquiéter
- Va, chanson, à tire-d'aile
- Vendanges
- Veni, Sancte
- Vêpres rustiques
- Vers dorés
- Vers en assonances
- Vers pour être calomnié
- Vers sans rimes
- Voeu
- Voix de Gabriel
- Voix de l'Orgueil : un cri puissant comme d'un cor
- Voulant te fuir
- Vous êtes calme, vous voulez un voeu discret
- Vous m'avez demandé quelques vers sur Amour
- Vous m'avez demandé quelques vers sur Amour
- Vous reviendrez bientôt, les bras pleins de pardons
- Vous voilà pauvres bonnes pensées
- Vrai, nous avons trop d'esprit
- Walcourt
- Catégorie : Paul-Jean Toulet
- À l'Alcazar neuf, où don Jayme
- À Londres je connus Bella
- Aimez-vous le passé
- Ainsi, ce chemin de nuage
- Alcôve noire
- Amarissimes
- Au détour de la rue étroite
- Avril, dont l'odeur nous augure
- Bayonne! Un pas sous les Arceaux
- Boulogne
- C'était dans les vapeurs du nard
- C'était longtemps avant la guerre
- C'était sur un chemin crayeux
- Carthame chatoyant, cinabre
- Ce fut par un soir de l'automne
- Ces roses pour moi destinées
- Cet huissier, qui jetait, l'été
- Chandelier toujours sans chandelle
- Chevaux de bois
- Comme à ce roi laconien
- Comme les dieux gavant leur panse
- D'un noir éclair mêlés, il semble
- Dans la rue-des-Deux-Décadis
- Dans le lit vaste et dévasté
- Dans le silencieux automne
- De tout ce gala de province
- Dessous la courtine mouillée
- Douce plage où naquit mon âme
- Église de Saint-Augustin
- Éléphant de Paris
- Embrassez-moi, petite fille
- En Arles
- En l'an 801 de Rome
- En souvenir des grandes Indes
- Enfin, puisque c'est Sa demeure
- Épitaphe
- Fô a dit
- Géronte d'une autre Isabelle
- Il pleuvait. Les tristes étoiles
- In memoriam J. G. M
- Iris, à son brillant mouchoir
- J'ai beau trouver bien sympathique
- J'ai vu le Diable, l'autre nuit
- L'Alchimiste
- L'immortelle, et l'œillet de mer
- L'ingénue
- L'un vainqueur ou l'autre battu
- La cigale
- La première fois
- La vie est plus vaine une image
- Le coucou chante
- Le Garno
- Le microbe : Botulinus
- Le sonneur se suspend, s'élance
- Le temps d'Adonis
- Le Tremble est blanc
- Les trois dames d'Albi
- Longtemps si j'ai demeuré seul
- Me rendras-tu, rivage basque
- Molle rive dont le dessin
- Nane, as-tu gardé souvenir
- Nocturne
- Nous jetâmes l'ancre, Madame
- Ô jour qui meurs à songer d'elle
- Ô poète, à quoi bon chercher
- On descendrait, si vous l'osiez
- Pâle matin de Février
- Plus oultre
- Pour une dame imaginaire
- Princes de la Chine
- Quand l'âge, à me fondre en débris
- Quel pas sur le pavé boueux
- Quelquefois après des ébats polis
- Réveil
- Rêves d'enfant
- Saigon : entre un ciel d'escarboucle
- Si ta grande ombre, ô Moréas
- Soir de Montmartre
- Sur l'océan couleur de fer
- Tandis qu'à l'argile au flanc vert
- Tel variait au jour changeant
- Toi pour qui les dieux du mystère
- Toi qu'empourprait l'âtre d'hiver
- Toi qui fais rêver, ô brune
- Tout ainsi que ces pommes
- Toute allégresse a son défaut
- Trottoir de l'Élysé'-Palace
- Un Jurançon 93
- Vêtue à l'envi d'un beau soir
- Vous me reprochez entre tant
- Vous qui retournez du Cathai
- Vous souvient-il de l'auberge
- Catégorie : Pierre Corneille
- À la marquise
- À la marquise de B. A. T
- À M. de Scudéry
- À Mademoiselle Serment
- À Monseigneur de Guise
- À Monsieur D. L. T
- Amourettes de jeune homme
- Au Roi
- Au Roi (I)
- Chagrin
- Chanson
- Chanson (I)
- Deux sonnets
- Épigrammes
- Épitaphe
- Espérance
- Eve et Marie
- Excuse à Ariste
- Inquiétude
- Jalousie
- Je ne puis aimer
- L'immortelle blanche
- La fleur d'orange
- La mort du Roi Louis XIII
- La peste
- La tulipe
- Le presbytère d'Hénouville
- Ode
- Perdu au jeu
- Que la vérité parle
- Regrets d'amour
- Rondeau - Je pense à vous
- Sur le cardinal de Richelieu
- Sur une absence
- Vos beaux yeux
- Catégorie : Pierre de Ronsard
- À Cassandre
- À Cassandre (I)
- À Cupidon
- À la forêt de Gastine
- À lui mesme
- À Marguerite
- À mon retour
- À Monsieur de Verdun
- À Phoebus
- À sa guiterre
- À sa lyre
- À sa maîtresse
- À sa maîtresse (II)
- À sa muse
- À son âme
- À son luth
- À son Page
- À une fille
- Adieu, belle Cassandre, et vous, belle Marie
- Afin que ton renom s'étende par la plaine
- Ah longues nuicts d'hyver de ma vie bourrelles
- Amour me tue, et si je ne veux dire
- Amour, Amour, donne-moi paix ou trêve
- Amour, je ne me plains
- Amour, tu es trop fort, trop foible est ma Raison
- Amour, tu sembles
- Amourette
- Ange divin, qui mes plaies embaume
- Au mois d'avril quand l'an se renouvelle
- Au Seigneur de Villeroy
- Au Sieur Robertet
- Avant le temps tes temples fleuriront
- Bien qu'à grand tort il te plaît d'allumer
- Bien que les champs, les fleuves et les lieux
- Bonjour mon coeur
- Ce beau corail, ce marbre qui soupire
- Ce Chasteau-neuf, ce nouvel edifice
- Ce jour de Mai qui a la tête peinte
- Celle, de qui l'amour vainquit la fantaisie
- Celui qui boit
- Ces liens d'or, cette bouche vermeille
- Chanson
- Chanson (I)
- Chanson d'amour
- Ciel, air et vents, plains et monts découverts
- Comme on voit sur la branche au mois de may la rose
- Comme un chevreuil, quand le printemps destruit
- Contre Denise Sorcière
- Cusin, monstre à double aile, au mufle Elephantin
- Dans le serein de sa jumelle flamme
- Dedans des Prez je vis une Dryade
- Donne moy tes presens en ces jours que la Brume
- Douce Maîtresse
- Élégie à Hélène
- Elégie à Janet, peintre du roi
- Élégie du printemps
- Epitaphe de François Rabelais
- Ha! que je porte et de haine et d'envie
- Hymne à la nuit
- II ne faut s'ébahir, disaient ces bons vieillards
- Il faut laisser maisons et vergers et jardins
- Il ne falloit, Maistresse, autres tablettes
- J'ai l'âme de regrets touchée
- J'ai l'esprit tout ennuyé
- J'ay varié ma vie en devidant la trame
- J'espère et crains
- Jamais Hector aux guerres n'était lâche
- Je faisais ces Sonnets
- Je n'ay plus que les os, un Schelette je semble
- Je ne suis seulement amoureux de Marie
- Je plante en ta faveur cet arbre
- Je suis homme né pour mourir
- Je veus lire en trois jours l'Iliade d'Homere
- Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse
- Je veux pousser par l'univers ma peine
- Je vois tes yeux
- Je voudrais bien richement jaunissant
- Je voudrais être Ixion et Tantale
- Je vous envoye un bouquet que ma main
- L'absence
- L'an se rajeunissait en sa verte jouvence
- L'arrogance est pire que l'humilité
- L'honnêteté, douceur, rigueur
- La jeunesse
- La quenouille
- Laisse-moi sommeiller, amour
- Le boyteus mari de Vénus
- Le Ciel ne veut, Dame, que je jouisse
- Le soir qu'Amour vous fit en la salle descendre
- Le vintieme d'Avril couché sur l'herbelette
- Les Amours de Marie (VI)
- Les Amours de Marie (XIX)
- Ma maîtresse est toute angelette
- Magie, ou délivrance d'amour
- Maîtresse, embrasse-moi, baise-moi, serre-moi
- Marie, à tous les coups vous me venez reprendre
- Marie, baisez-moi ; non, ne me baisez pas
- Marie, levez-vous, ma jeune paresseuse
- Marie, que je sers en trop cruel destin
- Marie, qui voudrait votre beau nom tourner
- Marie, vous avez la joue aussi vermeille
- Marie, vous passez en taille, et en visage
- Meschantes nuicts d'hyver
- Mignonne, allons voir si la rose
- Nature ornant la dame
- Ni de son chef le trésor crépelu
- Ni voir flamber au point du jour les roses
- Ô doux parler, dont l'appât doucereux
- Ô Fontaine Bellerie
- Ô ma douce moitié
- Ode à Cassandre
- Ode à l'alouette
- Ode saphique XXX
- Ode saphique XXXI
- Odelette
- Odelette à sa maîtresse
- Odelette à une jeune maîtresse
- Ores l'effroi et ores l'espérance
- Ôtez votre beauté, ôtez votre jeunesse
- Par un destin dedans mon cœur demeure
- Pareil j'égale au soleil que j'adore
- Petit nombril, que mon penser adore
- Plus mille fois que nul or terrien
- Plût-il à Dieu n'avoir jamais tâté
- Pour boire dessus l'herbe tendre
- Pour être en vain tes beaux soleils aimant
- Pour retenir un amant
- Pour son tombeau
- Pourtant si ta maîtresse est un petit putain
- Pren ceste rose aimable comme toy
- Qu'il me soit arraché des tétins de sa mère
- Quand au temple nous serons
- Quand ces beaux yeux
- Quand en songeant ma folâtre j'acolle
- Quand je pense à ce jour, où je la vey si belle
- Quand je suis tout baissé sur votre belle face
- Quand je suis vingt ou trente mois
- Quand je te voy seule assise à par-toy
- Quand l'été, dans ton lit, tu te couches malade
- Quand vous serez bien vieille
- Que me servent mes vers
- Qui voudra voir comme un Dieu me surmonte
- Quiconque a peint Amour, il fut ingenieux
- Quoy mon ame, dors tu engourdie en ta masse
- Si c'est aimer, Madame, et de jour, et de nuit
- Si je trépasse entre tes bras, Madame
- Si mille oeillets, si mille liz j'embrasse
- Si mon grand Roy n'eust veincu meinte armee
- Si seulement l'image de la chose
- Soit que son or se crêpe lentement
- Sonnet (I)
- Sonnet (II)
- Sonnet (III)
- Sonnet (IV)
- Sur mes vingt ans, pur d'offense et de vice
- Tant de fois s'appointer, tant de fois se fascher
- Te regardant assise auprès de ta cousine
- Tu te moques, jeune ribaude
- Une beauté de quinze ans enfantine
- Versons ces roses près ce vin
- Vœu à Vénus
- Vous me distes, Maitresse, estant à la fenestre
- Vous triomphez de moi, et pour ce, je vous donne
- Vu que tu es plus blanche
- Catégorie : Pierre-Jean de Béranger
- Catégorie : Rémy Belleau